Enquête Agrinautes 2007 premiers résultats. . . Les Agriculteurs utilisent plus souvent des services professionnels de plus en plus nombreux.

Services internets Agricoles Utilisation

Les premiers résultats* de l’enquête « Agrinautes êtes-vous innovateurs ? » font apparaitre un développement de l’usage des différents types de services : une progression de 5 points en moyenne en 1 an.

La météo reste le premier service consulté par 94% des Agrinautes .

Les actualités agricoles que consultent 88% des agriculteurs accédant à Internet, arrive au niveau de la consultation des services bancaires pour la première fois.

En un an la recherche d’informations techniques concerne 7% de nouveaux Agrinautes passant de 69 à 76%.

La plus forte croissance est observée sur les services de petites annonces qui font un bon de 12 points pour atteindre 68%.

La consultation des données chez les distributeurs (coopératives et négoces) progresse de 7 points (40% des Agrinautes).

En revanche, les achats professionnels stagnent (51%) alors que 68% (plus 2 points en un an) des agriculteurs achètent en ligne pour leurs besoins personnels. Cela est certainement du à une offre de services assez limitée (notre annuaire des sites de ventes agricoles n’en recense qu’une vingtaine).

47% des Agrinautes utilisent des images satellites.

A noter que les vidéos agricoles sur internet qui sont apparues il y a tout juste un an sont déjà visionnées par 37% des Agrinautes.

* Enquête NTIC Agri Conseil, 795 questionnaires remplis en ligne avec plus de 150 Items.

« Agrinautes êtes vous innovateur ? » Plus que quelques jours pour répondre à cette grande enquête.

Services web utilisés par les Agrinautes 2006

Déjà plus de 700 agrinautes (agriculteurs utilisant internet pour leurs besoins professionnels) se sont penchés sur leurs pratiques des nouvelles technologies de la communication et de l’information dans leur métier.

Ils ont ainsi pu cerner quels sont les services qui leur font gagner du temps, ceux qu’ils utilisent le plus, ceux qui font défaut et quel budget ils y consacrent. Ils ont pu réfléchir à leur besoins d’équipements (réseau, informatique, GPS, capteurs, caméras, robots, …) et de services (logiciels, sites, …).

Agrinaute, si vous ne l’avez fait, n’hésitez pas à y consacrer une dizaine de minutes.

La synthèse des résultats permet à chacun de se positionner dans ses pratiques et ses projets.

L’analyse permettra également de mesurer l’évolution depuis la précédente enquête.

Une première synthèse de l’étude sera disponible en février, vous pouvez vous inscrire pour plus d’informations
Nous ne manquerons pas de nous en faire l’écho dans ce blog.

Agrinautes êtes vous innovateurs ? Grande enquête en ligne sur les NTIC en agriculture. Agriavis attend également vos avis.

Logo NTIC Agri

Comment les agriculteurs utilisent-ils Internet ? le GPS ? la cartographie ? Quels sont les services qui leur font gagner du temps ? Ceux qu’ils utilisent le plus ? Ceux qui leur manquent ? …

Pour répondre à toutes ces questions, et à bien d’autres, NTIC-Agri Conseil relance en 2007 son étude « Agrinautes, êtes-vous innovateurs ? ».
En une dizaine de minutes, les agriculteurs sont invités à répondre à une série de questions sur leur pratique de l’Internet, leur équipement, l’utilisation de services ou logiciels….
Une synthèse des résultats sera envoyée à tous ceux qui laisseront leur adresse email à la fin du questionnaire.
L’an dernier, plus de 900 personnes ont répondu à notre première enquête.
Celle-ci avait permis notamment de faire ressortir la forte adhésion des Agrinautes à Internet (69% le considèrent comme indispensable pour s’adapter aux nouvelles contraintes du métier et 38 % ne pourraient plus s’en passés, soit quasiment le même niveau que pour le téléphone portable, 42%).
L’enquête 2006 a également mis en avant les attentes des Agrinautes en matière de sites de ventes.

Cette enquête est importante car elle est la seule qui soit complètement indépendante des différents portails. Aussi, si vous êtes exploitant agricole, n’hésitez-pas à y répondre. Chaque avis compte. Agrinautes êtes vous innovateurs ?

Agriavis

Un autre service, Agriavis, sollicite l’avis des utilisateurs pour les partager avec d’autres agriculteurs.
Agriavis a élargi son domaine d’activité en septembre dernier et permet également de donner votre avis sur les engrais, les produits phytosanitaires, les variétés de blé, orge, colza, betteraves, pommes de terre…tournesol, les services utilisés (traçabilité, guidage GPS, sites internet, logiciels, météo…).

Agriavis continue par ailleurs à mettre en ligne les avis sur le matériel avec les points négatifs (les pannes, les soucis, les détails agaçants,…) mais aussi les astuces, les points positifs, les améliorations, les « satisfactions » procurées par les tracteurs, charrues, semoirs, déchaumeuses, moissonneuses-batteuses, télescopiques, matériels d’atelier…

Prés de 1 500 agriculteurs ont déjà donnés leurs avis, vous aussi prenez la parole, partagez vos expériences le Web2 est là .

Du nouveau dans les laboratoires d’analyse de lait : arrivée d’un privé « Lacteus » et création d’une base de données commune « Infolabo ».

Lacteus

Ces deux informations annoncées simultanément au Space, présument-elles une évolution importante du service rendu à l’éleveur ?

Pour la première fois en France des entrepreneurs privés lancent un laboratoire d’analyse de lait : Lacteus. Ce laboratoire situé à Saint Brice en Cogles au cœur du 1er bassin laitier français (l’Ille & Vilaine et la Manche les deux premiers départements producteurs de lait) sera opérationnel en janvier prochain.
La principale innovation de Lacteus tient dans la participation de l’éleveur et dans l’organisation de la logistique. L’éleveur réalise lui-même ses prélèvements de lait et les expédie (dans un conditionnement fourni par Lacteus) au laboratoire, générant ainsi des économies non négligeables par rapport à la méthode actuelle du contrôle laitier (pas de peseur à rémunérer et frais de déplacements limités à la remise en poste).

Pour la prise d’échantillon, l’éleveur doit être équipé de compteur ou de
tru-test s’il veut peser la quantité de lait.

L’éleveur reçoit ses résultats sous 48 heures après réception des prélèvements par mail (ou par la poste si l’éleveur n’utilise pas Internet ).

Cette innovation me rappelle celle de Cobiporc qui lança à la fin des années 80 son service d’insémination artificielle porcine, en donnant aux éleveurs les moyens d’inséminer eux même les animaux. Il mit pour cela, en place une logistique spécifique (conditionnement et transport) sous l’œil sceptique de bon nombre d’acteurs de l’élevage de l’Ouest (le système fonctionnait déjà en Hollande) . Mais le succès fut au rendez-vous.

L’autre aspect très intéressant du lancement de Lacteus réside dans la nature du retour des données. L’éleveur reçoit un fichier avec toutes les données des analyses, qu’il peut transmettre à qui il veut pour un conseil ou un service. Il possède ses données et n’est pas obligé de demander à l’organisme qui les détient de passer un protocole avec untel ou untel. Il est considéré comme responsable.
Toute autre est la démarche du CNIEL qui vient d’annoncer la mise en place d’Infolabo

Ce service est avant tout destiné aux industriels laitiers (coop ou laiteries privées) qui bénéficieront d’une base de données leur permettant de collecter sous une forme normalisée, l’ensemble des analyses de lait de leurs producteurs quel que soit le laboratoire.

Du coté des éleveurs qui bénéficient déjà des services d’accès aux résultats d’analyses de lait (Agranet, Synel, …) Infolabo ne devrait pas apporter beaucoup de nouveauté mis à part la possibilité de télécharger l’ensemble de leur données et de nouvelles fonctions d’alertes à venir.

Avancée notoire pour les éleveurs Bretons, l’Internet se fait mobile : Partenariat Orange Agranet.


L’ARSOE de Bretagne et Orange ont annoncé au Space un partenariat pour permettre l’accès aux données d’élevage du bouquet de service Agranet depuis un portable à « haut débit » EDGE /3G.

Le téléphone « haut débit mobile » proposé est un téléphone multifonctions PDA/téléphone (smartphone) compatible 3G, fonctionnant sous Windows Mobile 5.0, avec Wi-Fi compatible avec la navigation GPS d’Orange. Pour son design, le constructeur taïwanais HTC a choisi une robe tendance : le blanc vernis qui lui donne un faux air d’iPod. Peut-être un signe précurseur du lancement de l’iPhone d’Apple par Orange en novembre.

La mise à disposition d’un terminal très ergonomique (entièrement graphique comme l’est l’iPhone) ou le HTC Touch, par l’opérateur national devrait mettre le « haut débit mobile » à la disposition du plus grand nombre des agriculteurs.

Orange annonce que son réseau EDGE couvre 98% des utilisateurs soit une couverture bien plus large que celle de l’ ADSL (attention Orange considère qu’une commune est couverte si au moins un abonné est joignable), d’où son attrait pour le monde rural. Il reste maintenant à l’opérateur à proposer un forfait sans limite (comme sur l’ADSL) pour que l’offre soit complète. (L’arrivée probable de free devrait changer la donne).

Cette première dans le monde professionnel agricole remplace le pocket de l’éleveur pour saisir ses données d’élevage, demander le passage de l’inséminateur, déclarer une naissance … Suivant la nature des saisies effectuées par l’éleveur sur son téléphone, le système contrôle la saisie, se connecte et transmet immédiatement l’information (en cas de demande d’insémination par exemple) ou la stocke provisoirement pour la transmettre ultérieurement à l’occasion d’une autre connexion.

L’intérêt et la simplicité d’un tel outil pour l’éleveur sont évidents. L’historique carnet de poche de l’agriculteur devient virtuel avec un confort et un gain de temps certain : une seule saisie, des données à jour consultables en temps réel non seulement au bureau mais dans l’étable ou au champ. Le rêve de tout agriculteur maintes fois exprimé depuis l’arrivée de l’informatique dans les campagnes se réalise.

Il est certain que maintenant la plupart des éditeurs de logiciels de gestion de troupeaux ou de parcelles vont emboîter le pas pour le plus grand bien des exploitants.

ANELA : Les éditeurs de logiciels agricoles privés s’associent pour peser vis à vis des institutionnels.

Geosys logoi3s LogoIsagri logoKerhis logoNeotic logo2Prestilem logoSoneo logoVitarea logo

Dix éditeurs privés de logiciels agricoles (Agri-intrant, Apival, Géosys, I3S, Isagri, Kerhis, Neotic, Prestilem, Soneo et Vitarea) dépassent leurs différences et annoncent la création de l’ANELA : Association Nationale des Editeurs de Logiciels Agricoles.

Les 10 éditeurs annoncent représenter environ 90% des exploitations utilisatrices de logiciels agricoles et s’engagent autour d’objectifs communs : Normalisation, propriété des données, pérennité de l’information, liberté de choix et respect des règles concurrentielles.

Le bureau de l’Anela est constitué de Vincent Leman de Prestilem (président), Pascal Chevalier d’Isagri (vice président) et Benoit Dreux de Sonéo (trésorier).

Il semble que l’élément déclencheur de cette association entre concurrents soit la présentation des travaux du GIEA et de la Base Sol le 20 décembre dernier, au Ministère de l’Agriculture ; depuis, la commercialisation de « mesp@rcelles » services en ligne des chambres d’agriculture a ravivé la crainte du privé de ne pas être à armes égales pour l’accès aux données et donc à leur valorisation.

Les mêmes problèmes existent depuis longtemps pour les données d’élevage, la centralisation et le stockage des données de l’éleveur se fait dans les ARSOE, et l’agriculteur n’ayant pas la maitrise technique de ses données ne peut les transmettre à sa guise à ses interlocuteurs privés.

La création de cette association devrait permettre d’avancer rapidement vers la réalisation de la demande de tout agriculteur : n’avoir à saisir ses informations qu’une seule fois et pouvoir les transmettre librement et simplement à qui bon lui semble.

Les TIC au forum des nouvelles technologies agricoles à Deauville.

Farmstar NTIC-agri

La Normandie a commencé très tôt à se préoccuper du développement des TIC au service des agriculteurs. Elle a su dès 1984 fédérer la quasi totalité des acteurs institutionnels pour la mise en place d’une grande banque de données qui au travers de Guillaume Tel, offrait à l’agriculteur une version Minitel, des services que l’on retrouve maintenant sur le Net (messagerie, météo, avertissements phyto-sanitaires, informations techniques, revue de presse, cours et marchés, données individuelles, suivi de troupeau, calcul de ration, plan de fumure, …).

Aujourd’hui l’agriculture Normande continue dans cette voie et présente à Deauville le 27 septembre quelques-unes des innovations technologiques qu’utilisent déjà des exploitants. J’aurai le plaisir d’animer deux conférences l’une pour les cultures l’autre pour l’élevage.

Nous y traiterons de l’utilisation de la cartographie, du GPS, de l’image satellite pour gérer, moduler les intrants, optimiser la récolte à l’intérieur de chacune des parcelles.
Nous aurons des témoignages d’utilisateurs de Farmstar avec Capseine et la Chambre d’Agriculture de l’Eure, de GPS-RTK, et du service novateur de gestion de parcelles en ligne (mes@parcelles).
Pour la partie élevage nous nous concentrerons sur les nouvelles collectes de données faites au niveau de chaque animal obtenues avec les Bolus de MEDRIA transmis par SMS (1ère mondiale) , les robots de traite avec Lely (leader européen des robots dans les fermes), les puces RFID, les compteurs électroniques (France contrôle Laitier).
Remy Mer, consultant en stratégie et communication, nous apportera sa vision de l’impact de ces nouvelles technologies sur le métier de l’agriculteur et de sa perception par la société.

Rendez-vous au forum des nouvelles technologies le 27 septembre à Deauville.

Nouveaux flux RSS disponibles gratuitement pour le monde agricole.

Rss Agri Netvibes CG

Terre-net vient d’ajouter six flux RSS d’actualités agricoles (machinisme, cours et marchés, élevage, cultures, viticultures et actualités) aux cotés de ceux des principaux portails agricoles qui sont diffusés depuis quelque temps.

Le blog d’Agrimail rssagricole recense une quarantaine de flux agricoles, auxquels viendront vraisemblablement s’ajouter la presse agricole départementale comme l’Agriculteur Normand

Vous pouvez ainsi vous constituer une page avec les titres des dernières informations de vos sites préférés, certains ajoutent une illustration (Le Mag, le Monde, …) et un flux en podcast (Le-mag) comme sur la copie d’écran ci-dessus avec Netvibes. Vous pouvez vous laissez guider par les-infos-du- net pour réaliser votre service avec Netvibes.

Une amorce de Web2 sur le matériel agricole ? Le partage d’avis des utilisateurs se développe, et le trafic des sites de petites annonces explose.

tracteur

Jusqu’ici l’acheteur potentiel d’un matériel qui recherchait des informations sur la toile en dehors de son concessionnaire et du constructeur pouvait, soit consulter la base des CUMA, soit utiliser les forums des portails.

Depuis 2002 les CUMA ont mis en ligne un observatoire qualitatif du matériel agricole sur la fiabilité des engins récents établi à partir d’avis d’utilisateurs, essentiellement des animateurs de CUMA. Ce service organise des enquêtes et synthétise l’ensemble des avis sur des fiches par type de matériel. En 2007, les enquêtes portent sur les presses à huile et les moissonneuses-batteuses. La fiche de synthèse des presses à huile sortira fin juin et celle des moissonneuses-batteuses fin octobre.

En dehors de ce service, de nombreux agriculteurs lancent des appels à témoignages sur les forums, court-circuitant ainsi les réseaux traditionnels. Que ce soit sur les forums spécialisés de Terre-net ou Pleinchamp ces avis n’engagent que leurs auteurs et sont fonction de la disponibilité des interlocuteurs du moment mais peuvent générer d’intéressantes discussions.
Depuis le début de l’année un nouveau service Agriavis propose une collecte structurée d’avis d’agriculteurs et d’entrepreneurs agricoles : Agriavis dispose d’une base de données de 4 000 matériels agricoles référencés et décrits. Les utilisateurs sont invités à donner leur avis sur les matériels qu’ils utilisent dans leur exploitation. Actuellement plus de 600 avis ont été déposés. Ce site gère également un forum de discussion sur le matériel agricole.

Il faut noter que c’est dans le domaine du machinisme que l’on trouve le site internet agricole français au plus gros trafic Agriaffaires : 700 000 visites mensuelles, 100 000 visiteurs uniques hebdomadaires au dernier relevé de l’OJD, avec une pointe à 1 000 000 en janvier; soit une croissance de 100% en un an. Agriaffaires regroupe environ 47 000 annonces en ligne également accessibles depuis le site du MagCultures.

Terre-net propose 17 000 annonces en ligne, Matériel agricole (CIP, Grandes cultures infos) de son coté diffuse environ 7 000 annonces sur son site, et génère 60 000 visites mois et 10 000 visiteurs uniques hebdomadaires (trafic certifié OJD).
Le site de la France Agricole propose également environ 7 000 annonces de matériels agricoles.

Télépac 2007 … vers les 60 000 déclarations en ligne ? Votre assistant personnel rechargé au sucre ?

Agri cantal ordi

Depuis 2005 il était possible de consulter ses DPU (droits à paiement unique) et télé-déclarer son dossier PAC, sur le site Télépac. S’y ajoute cette année les demandes d’ICHN (indemnité compensatoire de handicap naturel) et de PMTVA (prime au maintien du troupeau de vaches allaitantes) en ligne jusqu’au 15 mai. Plus de 2 700 télé-déclarations de PMTVA ont déjà été remplies. Elle est simple (la phase la plus longue est la création du compte lors de la première déclaration uniquement) et ne nécessite pas d’avoir du haut débit contrairement au dossier PAC pour lequel l’ADSL est fortement conseillé (la cartographie est volumineuse). A noter que le N° Siret de l’exploitation est bien utilisé comme identifiant de l’exploitation.

La déclaration PMTVA en ligne, étant assistée, est plus simple que sur le papier et comporte quelques services en plus.

Plus de 6,3% des déclarations Télépac 2006 ont été transmises de façon dématérialisée, contre 1,8% en 2005. Dans plusieurs départements, le taux de télé-déclarations a été particulièrement élevé : 24% dans le Morbihan, 32% dans la Nièvre, et 63% dans le Lot (pour certains par l’intermédiaire des organismes)

L’administration a annoncé qu’une attention particulière serait portée au secteur de l’agriculture biologique par la mise en œuvre, à titre expérimental en 2007, d’une télé-procédure de notification à l’Agence Bio et de la simplification des documents pour l’identification des ovins et des caprins en agriculture biologique. Il n’y aura donc plus de formulaire papier à adresser à l’agence Bio comme actuellement.

Le dossier unique va permettre la fourniture à l’administration d’un document ou d’une information nécessaire à l’instruction des différents dossiers afin d’alléger les démarches des usagers. Les pièces nécessaires ne seront communiquées qu’une seule fois par les usagers, elles seront stockées dans une base de données nationale.
Une première étape concernera le plan végétal pour l’environnement et le plan de modernisation des bâtiments d’élevage. A terme, les dispositions retenues ont vocation à concerner l’ensemble des démarches des agriculteurs.

Une batterie fonctionnant au sucre ?

Batterie au sucre

Des chercheurs américains de l’université de Saint-Louis, dans le Missouri, travaillent actuellement à l’élaboration d’une batterie qui fonctionnerait avec du sucre. Ces recherches sont financées par le département américain de la Défense et présentent déjà des résultats très encourageants. Le principe repose sur l’utilisation d’enzymes qui convertissent le sucre en électricité. Selon eux, le meilleur rendement serait obtenu simplement en mélangeant du sucre en poudre et de l’eau. L’autonomie serait de 3 à 4 fois plus grande que celle d’une batterie au lithium-ion.

La batterie devrait être commercialisée d’ici 3 à 5 ans. L’agriculture y trouvera-telle de nouveaux débouchés ?